En réalité, tu t'étais levé de mauvaise humeur. C'était une journée comme les autres, où tu aurais décidé de levé ton fils, de l'entrainer, si celui-ci n'avait pas décidé de partir on ne sait où. Après avoir passé plusieurs heures à le chercher - et gâcher l'entièreté de ta matinée - celui-ci avait décidé d'aller s'entrainer solo, loin dans la forêt. Manque de bol, il pensait te l'avoir dit avec que non... Résultat: tu as gâché ta matinée.

D'assez mauvaises humeurs, il te fallait donc la rentabiliser. Sinon, tu ne pouvais que te sentir encore moins performant d'avoir laissé passer les heures d'entrainement. Imaginer que ta musculature deviendra flasque finit par te donner l'ordre de courir une bonne heure.

Tu t'empressas ensuite de venir secouer les arbres dans l'espoir d'avoir quelques pêches pour faire ton repas : pas le temps de rentrer chez toi pour un petit plat diet.

C'était une aubaine ! La nature répondait à ton appel. C'était presque une habitude chez toi, dites donc! Tu ramassais les pêches, en t'empressant d'aller les manger. (-3 pèches) Ces trois-là ne te faisaient pas peur. En réalité, t'étais même encore en appétit. Alors, c'est d'un pas joyeux de nouveau que tu cherchais encore un arbre à pêches. Tu espérais que celles-ci seraient plus juteuses que les précédentes.

Ensuite, lorsque cela serait fait, une bonne douche s'imposait. Il te semblait avoir vu quelques fournitures dans le magasin de Ridge. Il faudrait que tu vois cela de plus prêt, c'était essentiel pour toi d'avoir les bons objets qui pourraient te rendre la vie plus facile. Bon, une bonne mangeaille faire par une petite femme à la maison te ferait aussi du bien. Cela ne t'empêchait pas de rêvasser ! Il serait peut-être temps que tu te trouves quelqu'un pour finir tes jours ? Tu y penserais le moment venu. En attendant, les pêches.

Cette fois-ci, ce sont des lingots d'or qui te tombe du ciel ! Bon, tu exagères un peu. Quelques pièces, voilà tout. Tu les récupères et les empochent, bien décider à aller secouer d'autres arbres pour la forme. Tu inspires, expires. Tu sembles tendu : petite pause de relaxation qui s'impose à toi. Tu t'installes dans l'herbe en tailleur et inspire, puis expire,  ainsi de suit jusqu'à ce que tes muscles soient totalement détendus. Les aller et retour de certains habitants te faisant perdre en concentration, cela mit quelques temps avant que tu n’atteignes totalement l'apogée d'une relaxation ultime.

Doucement, tu te redresses et repart pour secouer les arbres ; ta grande passion du moment. Que te réserves celui-ci ? Tu n'es pas tellement curieux de nature, mais cela ne t'empêche pas de trouver cela amusant et qu'il s'agissait un peu d'une compétition... Tiens, cela faisait longtemps d'ailleurs qu'une compétition de pèche ou de chasse aux papillons n'était pas arrivée. Il serait peut-être temps, avec l'été, non ? Tu en toucherais deux mots à la Maire.